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Le Bûcher des vanités voir ce film 1280

Le bûcher des vanités

Tom Wolfe devrait devenir aussi la coqueluche du public français, et son Bûcher des vanités la plus sinistre, la plus drôle, la plus juste des présentations de la vie new-yorkaise… Il s’avale avec un plaisir qui ne se dément pas. Nicole Zand, Le Monde.

Le roman choc de Tom Wolfe. Où il est question de la chute d’un gagneur de Wall Street. Sur fond de convulsive fresque new-yorkaise. Vraiment saisissant ! Jean-Louis Kuffer, Le Matin .

Succès phénoménal aux États-Unis, voilà un pavé qui n’a pas fini de ricocher !… C’est « the » roman encore jamais écrit sur cette ville et ses épicentres mondialement nerveux. la Bourse et les conflits raciaux… L’argent, la politique, la presse, la justice, le courage et la lâcheté, du grand spectacle en cinémascope. Véronique Le Normand, Marie-Claire.

Cauchemardesque, fascinant, drôle et passionnant, Le Bûcher des vanités s’impose sans doute comme le livre qu’il faut avoir lu sur ce qui est aujourd’hui la « ville moderne » par excellence. Patrick de Jacquelot, Les Échos.

N’auriez-vous les moyens ou le temps de n’en lire qu’un seul, que ce soit ce Bûcher des vanités, cet incendie de mots éclairant la nuit contemporaine. Jean David, V.S.D.

le livre préféré du libraire

Le Bûcher des vanités, ou le testament du capitalisme avant l’heure. Tom Wolfe braque sa plume brûlante sur l’univers impitoyable de New York, véritable antichambre de l’enfer où c’est à celui qui s’élévera le plus haut. Dérives des élites, manipulations médiatiques, bouc émissaire politique, mais aussi la cupidité et la trahison inhérente au goût de l’argent facile, une palette de couleurs cauchemardesque pour une fresque fascinante. Tout le monde en prend pour son grade, nul n’échappe au purgatoire de cet auteur journaliste qui n’a même pas besoin d’attiser ce brasier autophage. Ce qu’il y a de plus redoutable à la lecture de ce monument, c’est surtout ce plaisir qu’on prendra à assister – précipiter – la combustion de ce golden boy qui avait tout pour lui. De l’or et de l’argent, il ne restera que charbon.